"Nous pouvons converser comme deux voisins appuyés sur la haie,par delà la barrière culturelle et linguistique, qui à la fois, nous sépareet nous donne cet appui du coude et un espace de liberté où faire durernotre conversation. Ce qui nous sépare nous unit. Dans ce paradoxe,nous puisons notre force vis à vis du monde. Ne me dites pas que nousen avons fini les uns avec les autres, nous sommes des Belges, pardi!"Dialogism, le 31 mai 2010"We can have a conversation, just like neighbours leaning on the hedge,beyond the cultural and linguistic barriers which at once separate usand give us elbow room and a support, so that our conversation can last.That which separates us unites us. In this paradox, we find the sourceof our might within the wider world. So don't tell me we are finishedwith each others, we are Belgians, of course!"Dialogism, May 31st, 2010."We kunnen converseren zoals twee op de heg leunende buren,overheen de culturele en linguistische barrièr, die terzelfdertijdons scheidt en de elleboogsteun en de ruimte biedtdie onze conversatie doet voortduren.Datgene wat ons scheidt, verenigt ons.Uit die paradox putten we onze kracht te midden van de wereld.Zeg me niet dat het uit is tussen ons, we zijn verdorie toch Belgen !"Lucie Antoniol, 31 mei, 2010.
lundi 31 mai 2010
Divorce? Union ?
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